Être à sa place.

En ce moment, un thème ressort souvent lors des soins, c’est celui de prendre sa place.

Je crois que pour beaucoup on passe une bonne partie de notre vie à ne pas savoir vraiment quel est notre place où on croit la connaître jusqu’à ce que tout vole en éclats.

Soit gentil, soit poli, ici c’est dangereux, eux ils sont mauvais, attention à l’avenir… Alors on se construit autour de ça, pour se rassurer, pour rassurer, pour être aimé.

Mais souvent, on est juste à côté de notre place idéale. Ce qui crée des dissonances à l’intérieur et nous laisse souvent un goût amer dans nos vies. Voir un brin de culpabilité, car « on a tout pour être heureux » mais on ne l’est pas.

Comment trouver sa place et la saveur de la vie qui va avec ?

Pour ce que je vois, ce que j’expérimente, et ce qu’on m’a soufflé à l’oreille quand je pose cette question lors des soins.

Il est bon de soigner son enfant intérieur, de travailler son ancrage. (Classique)

D’ouvrir son cœur vers l’intérieur. Quand on ne s’aime pas, on ne peut pas prendre sa place. Nous devons accepter qui nous sommes, toutes nos facettes, notre entièreté.

Accepter cette place qui est déjà en soi. Car c’est difficile de la trouver et de la vivre lorsque nous avons été séparés de l’unité.

Retrouver son unité puis fusionner avec le tout, voici une des clefs.

Une autre clef et de l’affirmer.

Je suis… Je m’aime sans condition et j’accepte de prendre ma place dans mon corps et dans ce monde. (20X par jours ça suffit)

Et comme toujours écouter son cœur et son corps. Eux savent. Car prendre sa place, c’est aussi s’aligner sur qui nous sommes vraiment. Aligner son corps, son cœur et son esprit.

Je vous souhaite plein de bonheur à tous. Et surtout de prendre votre juste place et de l’incarner pleinement.

Jean-Baptiste.